Nous méritons tous d'être traités avec dignité et respect. Le respect se voit souvent dans les petites choses de tous les jours : la façon d'aider une personne à s'habiller ou à aller aux toilettes; le fait de parler ou non de la personne à d'autres en sa présence. Ces petits détails font la différence. Le malade doit pouvoir continuer à pratiquer sa religion.
LE BESOIN D'AFFECTION
Le malade ne cesse pas d'avoir besoin d'affection et d'amour, mais vous ne pouvez exprimer vos sentiments de la même façon qu'auparavant. Il faut trouver d'autres moyens. Si vous éprouvez des difficultés à le faire, parlez-en à quelqu'un : à un membre de votre famille, à un ami, aux personnes du groupe Alzheimer ou à un professionnel. Ce type de problème est fréquent. Le soutient et la compréhension des personnes qui vous entourent vous aideront sûrement.
LE BESOIN D'UN ENVIRONNEMENT FAMILIER
Le malade reste attaché aux choses qui l'ont rendu heureux et l'ont satisfait toute sa vie. Il a besoin de rester en contact avec sa famille et ses amis, de se sentir bien en sécurité. Si la poésie, la musique ou les promenades en forêt le rendaient heureux auparavant, ces activités devraient continuer à faire partie de sa vie.